L’ASBL regrette le principe systématique qui consiste à faire disparaître la végétation existante en prétextant une compensation par des replantations. Nous demandons que soient maintenue, autant que faire se peut, la végétation existante et une compensation pour celle qu’il n’est pas possible de maintenir. Des observations de renards, chauves souris, lucarnes cerf volant (espèce intégralement protégée) sur le site proche n’ont pas été prises en considération dans l’étude d’incidence. Ramur demande qu’avant toute démolition, un inventaire de la faune présente dans les bâtiments soit mené afin de permettre leur protection ou leur déplacement. Ramur conteste également la demande de dérogation permettant au promoteur de déclasser ce site au plan de secteur qui figure actuellement en « zone de services et équipements communautaires » en « zone d’habitat ». Ce précédent pourrait justifier le passage entier de la zone de services en zone à spéculation foncière.
Le dossier complet remis par Ramur est visible ici.
L’enquête publique s’est clôturée mercredi 03/11 à 11h00 : lien